Cher fils, chère fille,
Le Cœur de ma Mère fut le vrai soleil. ..
De la Reine Souveraine on ne voyait que l’aspect physique.
Mais la Lumière de ma suprême Volonté enfermait
toutes les souffrances possibles et imaginables.
Autant ses peines furent intimes et méconnues,
autant elles furent précieuses et puissantes pour le Cœur Divin
pour obtenir le Rédempteur désiré…
L’Église connaît très peu les peines de la Céleste Souveraine,
seulement celles apparentes. C’est pourquoi on a dénombré sept épées.
Mais si elle avait su que son Cœur maternel était le refuge,
le dépositaire de toutes les souffrances, puisque la lumière
Lui apporta tout, ne l’épargnant d’aucune façon,
elle n’aurait jamais parlé de sept, mais de millions d’épées,