Luisa écrit :
(…) il est dans la nature de l’âme, lorsqu’elle a laissé son corps,
de se lancer vers le Centre d’où elle est sortie. (…)
Pauvres âmes qui sont sans Dieu, comment font – elles?
Quelle souffrance est pour elles la perte de Dieu!
Ah! mon Jésus, ne permets à personne de te perdre! (…)
Jésus tenait un très petit bébé fille. Le bébé semblait au seuil de la mort.
Jésus me dit: «Ma fille, ce petit bébé est ton âme.
Vois-tu comme Je t’aime, avec quel souci Je veille sur toi?
Je te garde en vie avec le souffle de ma Volonté.
Ma Volonté te rend petite, te fait mourir et te ramène à la vie.
Mais, ne crains pas, Je ne t’abandonnerai jamais!
Mes bras te presseront toujours sur ma poitrine.»
“Aucune peine n’est plus amère que la privation de Jésus”- LDC15